Être partie prenante d’un processus responsable de consommation d’énergie est un véritable enjeu économique pour tous, acteurs publics et privés. L’utilisation de la chaleur fatale à Bordeaux est l’une des plus concrètes. C’est pourquoi de nombreuses pistes émergent pour réaliser des économies d’énergie. Découvrez dans cet article, tout ce que vous devez savoir sur la chaleur fatale.
La chaleur fatale : définition simple
La chaleur fatale constitue une énergie thermique produite indirectement par un processus et qui ne bénéficie ni d’une récupération ni d’une utilisation. Il apparaît sous diverses formes :
- Liquide (eau de refroidissement),
- Les gaz (climatisation, air chaud ou froid, vapeur et fumées associées aux fours, chaudières et incinérateurs industriels),
- Diffusion (refroidissement et chaleur rayonnante de produits naturels).
Les avantages de la transformation de la chaleur fatale
La récupération de la chaleur fatale à Bordeaux offre :
- Amélioration de la performance énergétique,
- Réduction des dépenses énergétiques par la récupération de l’énergie,
- Diminution des frais liés à l’achat d’énergie.
Les défis de la récupération de la chaleur fatale
La récupération de la chaleur fatale présente un potentiel économique important sur le plan énergétique. C’est pour les industriels l’opportunité de réaliser des économies et de baisser leur facture d’énergie. En effet, cette source d’énergie inutilisable peut faire l’objet d’une valorisation thermique par deux axes complémentaires :
- La valorisation interne : permet de satisfaire les besoins en chaleur de l’entreprise,
- La valorisation externe : permet de couvrir les besoins d’autres entreprises ou plus largement d’un territoire, via un système de réseau de chaleur.
En plus de cette valorisation thermique, la chaleur fatale à Bordeaux peut également être convertie en électricité et réutilisée à des fins internes ou externes.
Les utilisations de la chaleur fatale
La chaleur fatale peut servir sous deux formes :
Sous forme de chaleur : celle-ci est utile pour les besoins propres de l’entreprise. La chaleur peut également s’utiliser dans d’autres processus tels que le chauffage des locaux, le chauffage de l’eau chaude sanitaire et le préchauffage de l’air de combustion d’un four ou d’une chaudière, etc. Enfin, elle peut alimenter le chauffage urbain.
Sous forme d’électricité : après sa conversion par un cycle de Rankine, la chaleur fatale à Bordeaux peut alimenter le réseau interne ou externe.
Comme nous l’avons vu, la chaleur fatale est définie comme l’énergie payée mais perdue, consommée mais non utilisée. Sa récupération ne devrait être que la dernière solution à appliquer dans une stratégie d’efficacité énergétique. Nous allons donc essayer d’optimiser les utilisations et les processus et donc de réduire au maximum l’existence de la chaleur fatale, avant d’essayer de la récupérer.